En barre, en carré ou en pâtisserie; nature, fourré, épicé ou à la noisette. Et même blanc ou noir. Le chocolat est une valeur sûre de l’économie française, il génère chaque année un marché immense.
Un marché qui ne connaît pas la crise
La France est un des plus gros consommateurs de chocolat au monde. Chaque année, environ 6,6 kg sont savourés par tête, sous toutes ses formes, mais si ce chiffre est encore loin derrière celui de l’Allemagne (11,6 kg par personne).
Le chocolat est pratiquement présent dans tous les foyers français, le budget moyen d’un ménage équivaut à 110 euros par an, quand le marché global représente plus de 2,7 milliards d’euros. Après Noël (10 % des ventes annuelles), le week-end de Pâques est une raison de plus pour les français de s’adonner à ce plaisir gourmand, avec 4 à 5% du volume global des ventes et 15.000 tonnes ingurgitées.
Et les producteurs n’ont pas l’intention de passer à côté d’une telle manne financière. Rivalisant d’originalité ces dernières années avec des produits qui plaisent à tous (noir, au lait, avec une surprise, créations originales, etc.), les industriels et artisans ont su tirer parti, avec brio, de ce marché qui ne connaît pas la crise.
